
A MINEMBWE LES FARDC ET LES FDNB DEMANDENT AUX BANYAMULENGE DE RENTRER CHEZ EUX AU RWANDA!
A MINEMBWE LES FARDC ET LES FDNB DEMANDENT AUX BANYAMULENGE DE RENTRER CHEZ EUX AU RWANDA!Dans un entretien avec un des chefs coutumiers de la
"Education pour la paix - Congo" ou “Education for Peace - Congo” est une organisation légalement enregistrée en République démocratique du Congo (RDC). Il s'agit d'une organisation non gouvernementale (ONG) reconnue, pleinement enregistrée auprès du ministère des Gouvernements locaux en vertu des lois régissant la RDC. C'est une ONG qui est une association à but non lucratif sans affiliation politique.
Président et fondateur
Président de B O D
Vice-présidente
Les plus grands défis auxquels l’humanité est confrontée aujourd’hui sont les conflits, la violence, le terrorisme et la guerre, ainsi que leurs terribles conséquences de la pauvreté, de la maladie et de la destruction de l’environnement. Les défis se situent à tous les niveaux de la société humaine: familles, écoles, communautés, etc. En République démocratique du Congo, les défis sont souvent extrêmes.
La guerre a éclaté en 2017 lorsque la milice Maï-Maï, en collaboration avec les forces armées du Burundi (FNL, Red Tabara et Forebu), a tenté de déraciner la tribu Banyamulenge du sol de ses ancêtres.
L’accusation: Les groupes rebelles ont accusé les Banyamulenge d’être des réfugiés rwandais cherchant à obtenir indûment des avantages en RDC, en commençant par l’obtention collective de la nationalité congolaise, y compris le droit autochtone à la terre.
La réalité: les Banyamulenge ne sont pas des réfugiés rwandais, car leur présence sur le territoire devenu la RDC remonte bien avant l’existence de la RDC en tant qu’Etat, avec des frontières géographiques tribales clairement définies à l’époque coloniale.
L’accusation: les rebelles affirment en outre que les Banyamulenge complotent la balkanisation de leur région de la RDC.
La réalité: Au contraire, les Banyamulenge ont toujours fonctionné comme de bons et fidèles citoyens de la RDC. Cette fausse accusation vise à les diaboliser afin de faciliter leur extermination. Nous craignons que cela ne devienne un génocide.
La guerre et le conflit sans fin dans l’est du Kivu, qui ont conduit des centaines de milliers de personnes à fuir leur territoire et à se réfugier dans les pays voisins, ont fait souffrir les civils, la violence et les tensions ethniques se sont aggravées.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a été témoin de la détérioration de la sécurité dans l’est du Congo. Leur plan pour résoudre le conflit au Kivu en mettant l’accent sur un dialogue pacifique a échoué. La situation actuelle a créé une grande incertitude.
La situation continue de s’aggraver de jour en jour. Plus de 200 000 personnes ont fui les combats dans les hauts plateaux du Sud-Kivu en République démocratique du Congo ces derniers mois, alors que la longue lutte pour la terre, le pouvoir et la citoyenneté se transforme en incendies de villages et en massacres généralisés.
Des coalitions de milices issues des communautés Babembe, Bafuliru et Banyindu – qui se considèrent comme «autochtones» congolais – combattent les Banyamulenge, un groupe d’éleveurs de bétail largement en infériorité numérique d’origine rwandaise, souvent tourné à tort comme des «étrangers».
Des groupes rebelles étrangers des comtés voisins sont soupçonnés d’avoir participé à la violence, qui est centrée sur Minembwe et Itombwe, des régions montagneuses reculées où de nombreux Banyamulenge vivent depuis des générations.
Les combats ici sont courants, mais les habitants affirment que les récents affrontements sont parmi les pires depuis des années.
Plus de 300 villages, dont la majorité sont des Banyamulenge, ont été incendiés, selon certaines estimations. L’ONU a du mal à vérifier ces affirmations en raison de sa présence limitée dans la région, où de nombreuses routes sont impraticables.
Le vol massif de bétail, environ 350000, a anéanti les moyens de subsistance de nombreux habitants de Banyamulenge, dont certains ont raconté au New Humanitarian (voir lien ci-dessous) des meurtres brutaux et ont allégué une campagne calculée pour les déloger de leurs villages de Minembwe et Itombwe.
Les affrontements se sont intensifiés, alors que les milices, connues sous le nom de Maï-Maï, se rapprochent de la ville de Minembwe, où des milliers de Banyamulenge déplacés ont cherché protection autour d’une base de maintien de la paix de l’ONU. Les infrastructures sociales telles que les écoles, les pharmacies et les hôpitaux ont été détruites, perturbant les programmes de vaccination, tandis que des épidémies mortelles de rougeole et de choléra se propagent à travers le Congo.
Alors que toutes les communautés ont été touchées, les responsables des Nations Unies et les travailleurs humanitaires disent que les Banyamulenge souffrent le plus.
Rarement les trois autres communautés, dont les milices ont leurs propres rivalités internes, ont opéré dans une alliance militaire. Maintenant, ils le font contre les Banyamulenge, qui sont aujourd’hui à «haut» risque de subir des atrocités, selon des responsables de l’ONU.
L’intensification des incendies dans les villages a maintenant poussé les Banyamulenge dans un lopin de terre de plus en plus petit au Sud-Kivu. D’autres ont fui vers des villes plus sûres comme Uvira, le long des rives du lac Tanganyika. D’autres encore fuient en grand nombre jusqu’à Nairobi, au Kenya.
Nous appelons les ONG et autres institutions telles que les églises à nous aider. Nous avons besoin d'un soutien financier, en particulier pour acheter de la nourriture, des vêtements et une éducation pour les enfants, les orphelins et les veuves. Un tel soutien change la vie des personnes déplacées.
c'est une association à but non lucratif sans affiliation politique.
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